IMAGINES

Voyages avec moi dans un monde de réves et de féeries

posté le 14-10-2008 à 14:07:52

Les voyages en train

Les voyages en train


J'crois qu'les histoires d'amour, c'est comme les voyages en train
Et quand j'vois tous ces voyageurs, parfois j'aimerais en être un

Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins
Et l'histoire d'amour t'emporte, sous l'œil impuissant des témoins
Les témoins c'est tes potes, qui te disent au revoir sur le quai
Ils regardent le train s'éloigner, avec un sourire inquiet
Toi aussi tu leur fais signe et t'imagines leurs commentaires
Certains pensent que tu t'plantes, et qu't'as pas les pieds sur terre
Chacun y va d'son pronostic sur la durée du voyage
Pour la plupart le train va dérailler dès l'premier orage

Le grand amour change forcément ton comportement
Dès l'premier jour faut bien choisir ton compartiment
Siège couloir ou contre la vitre, il faut trouver la bonne place
Tu choisis quoi, une love story de première ou d'seconde classe ?

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages
Tu te sens vivant, tu te sens léger, tu ne vois pas passer l'heure
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur

Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile
Toi tu te dis que tu n'y es pour rien, et que c'est sa faute à elle
Le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écœure
Faut que tu te lèves, que tu marches, tu vas te dégourdir le cœur

Et le train ralentit, c'est déjà la fin de ton histoire
En plus t'es comme un con, tes potes sont restés à l'autre gare
Tu dis au revoir à celle que t'appelleras désormais ton ex
Dans son agenda sur ton nom, elle va passer un coup de Tipp-Ex

C'est vrai que les histoires d'amour, c'est comme les voyages en train
Et quand je vois tous ces voyageurs, parfois j'aimerais en être un
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train
A connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur

Il est facile de prendre un train, encore faut-il prendre le bon
Moi je suis monté dans deux, trois rames mais c'était pas le bon wagon
Car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles
Et je ne crois pas tout le temps "qu'avec la SNCF, c'est possible"

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves
Et y a ceux qui foncent dans le premier train, sans faire attention
Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station
Y a celles qui flippent de s'engager, parce qu'elles sont trop émotives
Pour elles c'est trop risqué, de s'accrocher à la locomotive
Et y a les aventuriers qu'enchaînent voyage sur voyage
Dès qu'une histoire est terminée, ils attaquent une autre page

Moi après mon seul vrai voyage, j'ai souffert pendant des mois
On s'est quitté d'un commun accord, mais elle était plus d'accord que moi
Depuis je traîne sur le quai, je regarde les trains au départ
Y a des portes qui s'ouvrent, mais dans une gare je me sens à part

Il paraît que les voyages en train finissent mal en général
Si pour toi c'est le cas, accroche-toi et garde le moral
Car une chose est certaine : y aura toujours un terminus
Maintenant tu es prévenu, la prochaine fois tu prendras le bus

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posté le 14-10-2008 à 13:59:18

Attentat verbal

Attentat verbal
 

C’est quoi, c’est qui, ces mecs chelous qui viennent pour raconter leur vie
C’est elle, c’est lui, c’est moi, c’est nous, on vient même si t’as pas envie
Mais si t’écoutes un tout petit bout, p’t-être bien que t’en sortiras ravi
Et ça c’est important pour nous, c’est grâce à ça qu’on se sent en vie

J’aime ces attaques un peu surprise, c’est un attentat verbal
On a faim de se faire entendre, moi j’ai l’appétit cannibal
Certains diront que c’est un peu naze et d’autres que c’est franchement d’la balle
Quoi qu’il se passe on poursuivra mais crois pas que ton avis m’est égal

Capable de faire irruption dans des endroits inattendus
Dans des bars et des théâtres, tu nous a déjà entendus
Mais on a déboulé aussi dans des collèges, dans des lycées
                   Dans des squares et dans la rue, on a posé, toi-même tu sais

Le principe est clair : lâcher des textes là ou et quand tu t’yattends pas
Claquer des mots un peu partout et que ça pète comme un attentat
Dans des salles ou en plein air, laisser des traces, faire des ravages
Va demander au 129H ce qu’on appelle le slam sauvage

On pose des textes énervés, ou de geon-pi sentimental
On aborde un peu tous les thêmes avec ou sans instrumental
Mentalement prêt à proposer partout un intermède vocal
Une interruption sonore, un homicide amical

Si je vois de l’écoute dans tes yeux, je voudrai te dire merci
Et tu pourras me croiser partout sauf sur la scène de Bercy
J’ai des paroles pour te réveiller et j’en ai pour te bercer
Je te les offre sous les projecteurs ou dans le RER C

Le plaisir de capter des regards un peu destabilisés
Qui se disent ceux-là, ils ont pas peur de se ridiculiser
Le plaisir de capter des regards parfois remplis d’émotion
Dans ces cas là, on sait qu’on a passé le test avec mention

On prend la parole à l’apéro et on la prend au dessert
Mais si les plus sceptiques nous disent "mais à quoi ça sert ?"
A pas grand chose c’est vrai, j’avoue, si ce n’est à partager
Des bons mots, des bons moments et des lyrics enragés

C’est un poème, c’est une chanson, c’est du rap ou du slam
Ferait tellement plaisir qu’après ce texte tu t’enflammes
Appelle ça un ego-trip ou appelle ça du freestyle
On est solide comme de la brique et fragile comme du cristal

Les mots sont nos alliés, on les aime comme maître Capello
Puis on les laisse s’envoler en musique ou a capella
Et comme des flèches ils tracent, lancés par nos cordes vocales
Puis on les entend résonner comme une bombe dans un bocal

On arrive comme un accident dans des endroits insolites
Tu nous verras souvent en groupe, on vient rarement en soliste
Et même si tu te sens à l’abris, il faut jamais que tu t’emballes
Tu peux subir à tout moment, un attentat verbal

Maintenant tu sais qui c’est, ces mecs chelous qui viennent pour raconter leur vie
C’est elle, c’est lui, c’est moi, c’est nous, on vient même si t’as pas envie
Mais si t’écoutes un tout petit bout, p’t-être bien que t’en sortiras ravi
Et ça c’est important pour nous, c’est grâce à ça qu’on se sent en vie

(© Grand Corps Malade, Attentat verbal, 2004)

 

 


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posté le 14-10-2008 à 12:12:36

zen

                                                                                                                      

 

 

 

J'inspire et je sais que j'inspire

J'expire, et je sais que j'expire

Dedans/Dehors

J'inspire, et je suis la fleur.

J'expire, j'en ai la fraîcheur.

Fleur/Fraîcheur

J'inspire, et je me vois montagne.

J'expire, et je me sens solide.

Montagne/Solide.

J'inspire, et je me vois eau calme.

J'expire, en moi les choses se reflètent telles qu'elles sont.

Eau/Reflèter.

J'inspire, et je me vois espace.

J'expire, et je me sens libre.

Espace/Libre

   

                           Petit poème zen

Belle plume brune

Qui roule et qui coule

Dans un lagon doré.

 Loin du monde et du bruit

Elle berce de sa folie

L’onde douce de l’été

 Et elle se glisse et s’enfuit

Dans un tourbillon gris

Rêve d’amour et de paix.

 ces quelques  phrases

sans prise de téte juste une méditation, une reflexion,une pensée

Dans la chaleur des étés, toutes les fleurs ont des larmes pour provoquer la pitié du soleil.
*
Toute jeunesse finit par nous quitter, telle une vague douce quand elle se retire de la plage.
*
Au-delà de la vieille s’installe la « vieillure », c’est-à-dire la permanence, voire l’inusure des choses anciennes.
*
J’ai tant besoin d’ailes !
— dit l’oiseau amoureux.
*
Il n’est pas jusqu’aux étoiles qui, dans les avenues du ciel, ne cherchent leur chemin…
*
Au jardin de l’enfance comme dans celui de la vieillesse, les fleurs sont pareillement jolies. Sauf qu’elles n’ont pas la même odeur.
*
Mêmes insupportables, nos enfants sont encore nos chaînes les plus douces.
*
Quand on a tout perdu, il nous reste de perdre encore le désespoir.
*
Rien n’a vraiment de l’importance, sinon le temps que l’on consacre à cultiver les jardins secrets du cœur.
*
L’amour : une éternité dans un instant.
*
Il n’est de jardin qui ne soit un champ de bataille. Jusqu’aux abeilles et aux oiseaux-mouches qui saignent les roses !
*
Qu’est-ce qu’une vie humaine, parmi toutes ces poussières d’astres, sinon le germe d’un ordre nouveau et supérieur qui nous est encore inconnu ?
*
Chaque jour est une quête d’éternité.
*
Plus éloquents que les mots sont les gestes de l’amour.
*
Ceux-là seuls font de la lumière, qui sont allumés de l’intérieur, le feu dans l’âme.
*
Il y a des chansons comme des refuges, des étangs clairs, des rêves éveillés. La musique console de tout.
*
À regarder vivre, on apprend à mieux rêver.
*
L’amour et la mort sont les deux oreillers du même lit.
*
On ne se lèverait pas du lit chaque matin si l’on n’avait pas cette certitude heureuse que le monde recommence avec le lever du soleil.
*
C’est faire injure à ses voisins que d’aimer les animaux avec outrance.
*
Mépriser un être humain, c’est manquer de respect pour l’humanité toute entière.
*
Si tout était possible, tout serait vain.
*
Par la façon dont elle est regardée, toute chose, tout être peut devenir unique. Telle est la leçon du Petit prince. Tout l’intérêt réside dans le regard, qui transcende la réalité et nous confère le pouvoir de donner du poids et un sens nouveau à tout ce que l’on voit.

Gaspard-Auguste.

Où vont les nuages et comment sait-on que l’on est mort ?
*
Par la voix du tonnerre, Dieu gronde les hommes.
*
Qu’advient-il du fruit qui ne ressemble pas à ses semblables ? Il est isolé ou bien jeté aux ordures. Il en est ainsi des hommes.
*
Ce que tu as aimé est ton seul héritage.
*
La beauté du monde est la bonté de Dieu.
*
Un homme avait deux arbres. L’un était mort, l’autre vivant. Il s’acharnait à n’arroser que le premier. Un matin, à son réveil, il s’est retrouvé avec deux arbres morts.
*
L’indifférence, autant que la haine, est un poison.
*
Un jour, je me suis assis sur un nuage à bord duquel et grâce à lui, j’ai pu faire le tour du monde.
*
N’attends pas de reconnaissance de ceux que tu humilies.
*
Si tu veux voir clair et comprendre, écoute ceux qui ne t’aiment pas.
*
Un vol d’outardes… comme une fuite vers l’avant, l’ailleurs, l’Éternel !
*
Cultive ton jardin, pas celui des autres.
*
On tourne toujours au ridicule ce que l’on ne comprend pas.
*
Qu’est-ce qui est pire ? Naître ou mourir ?
*
Le mal que nous croyons faire aux autres, c’est à nous-mêmes que nous le faisons.
*
Le rire d’un enfant est la plus belle musique que l’on puisse entendre. Comme le chant d’un oiseau.

Gaspard-Auguste

 

 

Le printemps s’en va, cent fleurs se fanent.
Le printemps revient, cent fleurs s’épanouissent.

Devant nos yeux, la roue du temps tourne sans cesse,
Et déjà les cheveux sur nos tempes blanchissent.
Mais ne croyez pas qu’avec le départ du printemps,
Toutes les fleurs sont tombées.
Hier soir encore, devant mon jardin,
J’ai trouvé une branche de pêcher en fleurs.


Man Giac
(Maître zen)

 


 


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posté le 14-10-2008 à 12:04:19

rihanna disturbia

disturbia

 

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum (What's wrong with me?)

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum (Why do I feel like this?)

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum(I'm going crazy now)

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum

No more gas in the rig,
Can't even get it started.
Nothing heard, nothing said,
Can't even speak about it.
All my life on my head,
Don't want to think about it.
Feels like I'm going insane,
Yeah

It's a thief in the night,
To come and grab you.
It can creep up inside you,
And consume you.
A disease of the mind,
It can control you.
It's too close for comfort

Throw on your break lights,
We're in the city of wonder.
Ain't gonna play nice,
Watch out, you might just go under.
Better think twice,
Your train of thought will be altered,
So if you must faulter be wise.
Your mind's in disturbia,
It's like the darkness is the light, disturbia.
Am I scaring you tonight, disturbia.
Ain't used to what you like, disturbia.
Disturbia.

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum

Faded pictures on the wall,
It's like they talkin' to me.
Disconnectin' your call,
Your phone don't even ring.
I gotta get out,
Or figure this shit out.
It's too close for comfort.

It's a thief in the night,
To come and grab you.
It can creep up inside you,
And consume you.
A disease of the mind,
It can control you.
I feel like a monster (Oh, oh oh oh)

Throw on your break lights,
We're in the city of wonder.
Ain't gonna play nice,
Watch out, you might just go under.
Better think twice,
Your train of thought will be altered,
So if you must faulter be wise.
Your mind's in disturbia,
It's like the darkness is the light, disturbia.
Am I scaring you tonight, disturbia.
Ain't used to what you like, disturbia.
Disturbia.

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum
Bum bum be-dum bum bum be-dum bum

Release me from this curse im in,
trying to maintain, But I'm struggling.
If You can't go, go, go
I think I'm going to oh, oh, oh

Throw on your break lights,
We're in the city of wonder.
Ain't gonna play nice,
Watch out, you might just go under.
Better think twice,
Your train of thought will be altered,
So if you must faulter be wise.
Your mind's in disturbia,
It's like the darkness is the light, disturbia.
Am I scaring you tonight, disturbia.
Ain't used to what you like, disturbia.
Disturbia.

Bum bum be-dum bum bum be-dum bum

 

Paranoia

ce qui va pas avec moi ?
Pourquoi me sens-je si mal ?
Je me déchaine a présent
Plus de questions a se poser
Je ne peux plus commencer
Je n'entend rien, aucun mot n'est prononcé
Je ne peux pas décrire ce que je ressens
Mon esprit s'éclaire
Je ne veux pas penser a ça
Je commence a me lâcher
Ouais

(Pont :)
C'est un voleur nocturne qui s'approche et t'embarque
Cela peut saigner en toi et te consumer
Une infection physique que tu ne peux arrêter
C'est bien trop avancé pour te réconforter

(Refrain :)
Et au milieu des projecteur
Tu es dans la ville du doute
Au milieu de ces nuits incomparable
Tu peux facilement sombrer
Tu ferais mieux d'y réfléchir a 2 fois
Illustre le toi pour réussir a enchainer les ups (uptempos)
Alors si tu dois tomber sois sage
Ton esprit est troublé
C'est comme une décision sombre qui t'éclaire
Dans le trouble
T'effraie-je ?
Trouble
Faire ce que tu aimes
Paranoia, Paranoia

Photos usée sur le mur
C'est comme si elle me parlaient
Déconnecté par ton appel
Le téléphone semble vouloir sonner
Je dois me bouger ou alors me demmerder de tout ça
C'est bien trop avancé pour me réconforter

(Pont)

(Refrain)

Aide moi a me sortir de cette malédiction
Je fais semblant d'y faire face
Si tu peux partir
Pense a moi, . . ahhhhh
Pourquoi me sens-je comme ça ?

(Refrain)



 


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