La Terre - HymneElle est la terre, elle est la plaine, elle est le champ.Elle est chère à tous ceux qui sèment en marchant ; Elle offre un lit de mousse au pâtre ; Frileuse, elle se chauffe au soleil éternel, Rit, et fait cercle avec les planètes du ciel Comme des soeurs autour de l'âtre. Elle aime le rayon propice aux blés mouvants, Et l'assainissement formidable des vents, Et les souffles, qui sont des lyres, Et l'éclair, front vivant qui, lorsqu'il brille et fuit, Tout ensemble épouvante et rassure la nuit A force d'effrayants sourires. Gloire à la terre ! Gloire à l'aube où Dieu paraît ! Au fourmillement d'yeux ouverts dans la forêt, Aux fleurs, aux nids que le jour dore ! Gloire au blanchissement nocturne des sommets ! Gloire au ciel bleu qui peut, sans s'épuiser jamais, Faire des dépenses d'aurore ! La terre aime ce ciel tranquille, égal pour tous, Dont la sérénité ne dépend pas de nous, Et qui mêle à nos vils désastres, A nos deuils, aux éclats de rires effrontés, A nos méchancetés, à nos rapidités, La douceur profonde des astres. La terre est calme auprès de l'océan grondeur ; La terre est belle ; elle a la divine pudeur De se cacher sous les feuillages ; Le printemps son amant vient en mai la baiser ; Elle envoie au tonnerre altier pour l'apaiser La fumée humble des villages. Ne frappe pas, tonnerre. Ils sont petits, ceux-ci. La terre est bonne ; elle est grave et sévère aussi ; Les roses sont pures comme elle ; Quiconque pense, espère et travaille lui plaît ; Et l'innocence offerte à tout homme est son lait, Et la justice est sa mamelle. La terre cache l'or et montre les moissons ; Elle met dans le flanc des fuyantes saisons Le germe des saisons prochaines, Dans l'azur les oiseaux qui chuchotent : aimons ! Et les sources au fond de l'ombre, et sur les monts L'immense tremblement des chênes. L'harmonie est son oeuvre auguste sous les cieux ; Elle ordonne aux roseaux de saluer, joyeux Et satisfaits, l'arbre superbe ; Car l'équilibre, c'est le bas aimant le haut ; Pour que le cèdre altier soit dans son droit, il faut Le consentement du brin d'herbe. Elle égalise tout dans la fosse ; et confond Avec les bouviers morts la poussière que font Les Césars et les Alexandres ; Elle envoie au ciel l'âme et garde l'animal ; Elle ignore, en son vaste effacement du mal, La différence de deux cendres. Elle paie à chacun sa dette, au jour la nuit, A la nuit le jour, l'herbe aux rocs, aux fleurs le fruit ; Elle nourrit ce qu'elle crée, Et l'arbre est confiant quand l'homme est incertain ; O confrontation qui fait honte au destin, O grande nature sacrée ! Elle fut le berceau d'Adam et de Japhet, Et puis elle est leur tombe ; et c'est elle qui fait Dans Tyr qu'aujourd'hui l'on ignore, Dans Sparte et Rome en deuil, dans Memphis abattu, Dans tous les lieux où l'homme a parlé, puis s'est tu, Chanter la cigale sonore. Pourquoi ? Pour consoler les sépulcres dormants. Pourquoi ? Parce qu'il faut faire aux écroulements Succéder les apothéoses, Aux voix qui disent Non les voix qui disent Oui, Aux disparitions de l'homme évanoui Le chant mystérieux des choses. La terre a pour amis les moissonneurs ; le soir, Elle voudrait chasser du vaste horizon noir L'âpre essaim des corbeaux voraces, A l'heure où le boeuf las dit : Rentrons maintenant ; Quand les bruns laboureurs s'en reviennent traînant Les socs pareils à des cuirasses. Elle enfante sans fin les fleurs qui durent peu ; Les fleurs ne font jamais de reproches à Dieu ; Des chastes lys, des vignes mûres, Des myrtes frissonnant au vent, jamais un cri Ne monte vers le ciel vénérable, attendri Par l'innocence des murmures. Elle ouvre un livre obscur sous les rameaux épais ; Elle fait son possible, et prodigue la paix Au rocher, à l'arbre, à la plante, Pour nous éclairer, nous, fils de Cham et d'Hermès, Qui sommes condamnés à ne lire jamais Qu'à de la lumière tremblante. Son but, c'est la naissance et ce n'est pas la mort ; C'est la bouche qui parle et non la dent qui mord ; Quand la guerre infâme se rue Creusant dans l'homme un vil sillon de sang baigné, Farouche, elle détourne un regard indigné De cette sinistre charrue. Meurtrie, elle demande aux hommes : A quoi sert Le ravage ? Quel fruit produira le désert ? Pourquoi tuer la plaine verte ? Elle ne trouve pas utiles les méchants, Et pleure la beauté virginale des champs Déshonorés en pure perte. La terre fut jadis Cérès, Alma Cérès, Mère aux yeux bleus des blés, des prés et des forêts ; Et je l'entends qui dit encore : Fils, je suis Démèter, la déesse des dieux ; Et vous me bâtirez un temple radieux Sur la colline Callichore. Paris. - 12 août 1873. |
victor-hugo ********Ouvrez******* ***********les yeux********* ******sur****** Pour maints visages d'animaux... Vous aviez un visage tout comme nous, Des joues d'aubes sur la plaine S'ouvrant vers l'infini, Qu'il m'arrivait d'effleurer à peine... Vous portiez votre regard sur le monde, Empreint d'innocence féconde, Ne gardant rien par-devers vous, Sur les chemins bordés de houx, Lorsque les hommes sont venus, Avec leurs cortèges d'horreurs, Vous niant la moindre liberté, J'ai lutté pour vous défendre ! Je vous berce sans cesse contre moi Tels mes enfants de toujours, Nous trouvons fortune sous les branches, Et les feuillages en avalanches, Vous faites partie de ma famille, J'ai mémoire de ceux que j'aime, Proches ou lointains, Baleine, mouettes, gerbilles, humains, C'est du pareil au même, Nulle hiérarchie en cette vie, Chaque créature est à chérir, Dans un dialogue permanent, Avec l'eau, la terre, le vent, Suivant l'enseignement de Noé, J'accueille en mon arche Les plus divers invités, Du jeune pousse jusqu'au patriarche ! La nature entière fait des siennes, Baignant ma bouche, mes épaules, mes bras, Mon coeur est un genêt qui crépite Sous le soleil roi ! Grignotant les plages du ciel, L'écume des arbres se meut Vers un calice bleu, Fleuri de ruches stellaires, Les montagnes allaitent les nuages, Deux buses reprisent ( de leur chant ) Un temps démis de son poids... Aux rubans d'un torrent S'abreuvent les chamois, Je ne me lasse pas d'embrasser ces visages, Anges du mystère, à l'allure altière, Retrouvant tous leurs univers, leurs paysages, A travers toi, ô femme, à la robe gibecière !
"...En somme la beauté est partout.
magnifique L'offrande à la nature Nature au coeur profond sur qui les cieux reposent, Anna De Noailles
Les vraies merveilles ne coûtent pas un centime Ici commence la liberté. Samivel poète et randonneur
La montagne comme la mer Sont authentiques, fantastiques. Elles sont en même temps, Eternelles et éphémères, Car elles bougent sans cesse Nous obligeant à des prouesses Quand on les côtoie : Que ce soit pour la première fois, Ou pour quelqu'un qui en connaisse une vraiment ! C'est un défi à la Nature Qui est belle Car, naturelle, Et sans fioriture ! Dame nature Tes images me capturent Comme un fœtus Je me vois au fond d'un cactus Symbole de patience Ouvert sans réticence Vers le futur Je ne crains la moisissure Plein d'espoir Je prie chaque soir Pour avoir Une goutte à boire ! Parce que la poésie est le chant de l'âme... Lorsque l'esprit de l'homme vibre à la vie de la Terre, Lorsque, les sens ouverts, il redevient Uni -Vers Où s'écrivent les hymnes à la Nature Et les chants divins des Sphères...
HYMNE A LA TERRE
... Je te salue, ô Terre, ô Terre porte-grains, Porte-or, porte-santé, porte-habits, porte-humains, Porte-fruicts, porte-tours, alme, belle, immobile, Patiente, diverse, odorante, fertile, Vêtue d'un manteau tout damassé de fleurs, Passementé de flots, bigarré de couleurs. Pied du grand animal qu'on appelle le Monde, Chaste épouse du Ciel, assuré fondement Des étages divers d'un si grand bâtiment. du roi des animaux. Tout, ô grande princesse, Vit en faveur de toi. Tant de cieux tournoyants Portent, pour t'éclairer leurs astres flamboyants ; Le feu pour t'échauffer sur les flottantes nues Tient ses pures ardeurs en arcade étendues ; L'air, pour te rafraîchir, se plait d'être secoux Or' d'un aspre Borée or d'un Zéphir doux ; L'eau, pour te détremper, de mers, fleuves, fontaines Entrelace ton corps tout ainsi que de veines. T'ayent pour la plupart, ô Terre, en tel mépris, Et que les coeurs plus grands abandonnent superbes Le rustique labeur et le souci des herbes Aux hommes plus brutaux, aux hommes de nul pris, Dont les corps sont de fer et de plomb les esprits...
Guillaume du BARTAS
Ô toi, ma NatureJ'aime être près des choses et être près de toi, Près du parfum des roses et du son de ta voix, Ressentir la force animant tes ardeurs Ainsi que sous l'écorce de l'arbre ton coeur. La rosée chatouilleuse imite la fraicheur De ta peau délicieuse embrumée de sueur Et l'herbe sur mon dos imprime des merveilles, J'y devine tes mots écrits d'encre vermeille. Dépossédant les cieux des reflets du soleil, Tes yeux sur mon visage éclairent sans pareil Et, venu des tréfonds de ta poitrine douce, Ton souffle sur mon front vaut mieux qu'une caresse.
Oh, toi la terre, tu cries Nous ne te respectons pas Alors ta colère est infinie Saurons-nous comprendre ta voix ! Oh, toi l'homme, tu rales Pourtant l'inégalité est forte Toi, pays riche aux mains sales Donne à manger, ourvre ta porte. Oh, vous religieux si différents Ne priez-vous pas le même dieu Amour, bonté, tolérance, ces commandements Appliquez-les chaque jour pour que les jeux De tous les enfants deviennent rires Joies et paix dans les coeurs Tout autour de la terre en délire Cette mère nous remerciera avec douceur Puisque de la vie à la mort tout vient d'elle Ne gaspillons pas la lumière apportée Pour traverser le chemin universel Sans blessure profonde et l'âme apaisée. Quelle espérance dans la tolérance !!!!
La Nature C’est vivant, se modifiant sans cesse, Fragile, tout autant que l’humanité Car à tout moment de son développement Cela peut cesser, S’arrêter Et donc mourir… Et donc cela a besoin, Tout comme les êtres humains, D’attentions, de soins, d’affection De douceur, Du cœur (de la Nature), à un autre cœur… Afin de pouvoir voir de quoi sera fait demain Et continuer d’apporter leur pierre à l’édifice De la continuation de notre planètePour aider les êtres humains à rendre la Terre belle, chouette
|
A médité
sans la terre l'homme n'est rien
Si elle vient a disparaitre l'homme disparait aussi
alors que sans l'homme la terre elle se porterai surement mieux
Si l'homme disparait la terre elle continuerait son chemin
je vous souhaite a tous et toutes un bon week end
meme a ceux qui non pas cette chance c'est a dire buller durant deux jours
grace mat coconing etc...... le pieds
allez une pensée pour ceux qui bossent ce week end
kisssssssss
NANY le 25-10-2008 à 17:24:38 # (site)
Bonsoir Laurenne , je te souhaite une belle soirée et une très douce nuit aux beaux rêves
gros bisous
NANY
NANY le 24-10-2008 à 17:25:22 # (site)
bonsoir mon amie, j'espère que tu vas bien, je te souhaite de clôturer ta journée en passant une merveilleuse soirée, et très belle nuit
gros bisous
NANY
les sirènes
plonges avec moi dans un monde ou règne des créatures énigmatiques
que sont elles femmes, poissons ?
quoiqu'il en soit
si belles
si convoitées
si dangereuses aussi
fermes les yeux
écoutes leurs chants si envoûtants
donnes moi la main
et suis moi
glisse dans les abysses
ce monde fantastique
Dans la mythologie grecque, les sirènes sont des êtres moitié-femme et moitié-oiseau qui chantent au-dessus des mers pour attirer les navigateurs et les faire se noyer. Elles passent pour les filles d'Achéloos et de Terpsichore, Melpomène ou Astérope, ou bien de Phorcys et de Céto, ou bien d'Œagre et de Calliope selon les versions.
Elles sont généralement au nombre de trois, mais certains auteurs en comptent beaucoup plus. Les noms les plus cités sont :
Traditionnellement, lorsqu'elles sont trois, une joue de la lyre, une autre de la flûte et la troisième chante.
La première mention des sirènes dans la littérature se trouve chez Homère, au chant XII de l'Odyssée, dans un des plus fameux passages du récit : Ulysse s'est fait attacher au grand mât de son navire pour pouvoir écouter le chant des sirènes , pendant que ses compagnons rament, les oreilles bouchées par la cire.
Cependant, Homère ne fait aucune allusion à des femmes-oiseaux. Le texte semble même suggérer qu'il pense à des femmes normales se tenant au bord de la mer, contrairement à certaines représentations grecques. Selon certaines interprétations, les sirènes n’étaient autre chose que des courtisanesqui demeuraient sur les bords de la mer de Sicile et qui séduisaient les marins.
Les Romains racontent d'ailleurs que les sirènes étaient à l'origine des femmes normales, les suivantes de Proserpine, et que c'est suite à l'épisode de l'enlèvement de Proserpine que Cérès, la mère de Proserpine, a transformé les sirènes en femmes-oiseaux.
Très fières de leur voix, elles défient les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne. Les Muses remportent le défi et exigent une couronne faite des plumes des Sirènes. Vaincues, elles se retirent sur les côtes d'Italie méridionale, tout près des détroits où sévissent Charybde et Scylla. Elles charment les marins par leur chant harmonieux, assises dans une prairie sur l’île d'Anthémoessa, autour d'un grand amas d'ossements d'hommes et de peaux en putréfaction.
FolkloreAujourd'hui, les légendes disent que ce sont des êtres moitié-femme et moitié-poisson. Elles sont tenues par l'appel de l'océan. Elles sont immortelles ; les deux premiers siècles de leur vie elles s'amusent et découvrent l'océan, mais ensuite elles se sentent seules et veulent aimer et se faire aimer par un humain.
Elles sont représentées avec une queue de poisson d'un seul tenant ou divisée en deux.
Dans l'imaginaire celte, la sirène séduit les pêcheurs en mer et enlève les enfants. La sœur jumelle de Douarnenez, la Marie Morgane, porte deux jambes au lieu d'une queue de poisson.
un peu de poésie
Les océans parfois ont des parfums violets,
Que chante une lumière,
Ainsi que des berceaux sans doutes inviolés
Tout comme une chaumière.
Les contes si souvent ont habité ces lieux,
Aux orgues fantastiques
Jouant sur les coraux cent nocturnes bleus,
Aux sirènes mystiques !
Je les ai vu moi-même en tes yeux de l’azur
Sortant comme une rose
Eclot de son jardin sous les gouttes d’air pur ;
Une métamorphose .
Elles ont tant porté la légende des mers ;
Leur queue est une plume,
Peignant de chaque crique aux gouffres plus amers
Des cœurs bordés d’écume.
C’est une queue, une aile ! à voler sous les eaux
Comme on nage aux nuées ;
Et leurs baisers portant des envols d’oiseaux
N’offrent point de ruées.
Car elles savent tant le précieux du diamant
Sous leur paupière close ;
Ô beauté accomplie Ô songe d’un amant
Que la légende arrose.
...Et je replongerai dans ton œil océan
Caresser les sirènes,
Qui souvent à mon coeur inspirent un géant
Rêve d’or et de reines.
La brume opaque et lisse
Fantôme évanescent
Enveloppe mon âme
D'accents mystérieux
L'outre-mer de tes yeux
M'envoûte en un voyage
Où nos deux mondes
S'effleurent et se devinent
Mais jamais ne se rencontrent
Nos âmes sur les flots
Flottent en arabesques
L'aiguille affolée et perdue
S'alarme et s'épouvante
D'encore chercher le nord
Je vogue sous d'autres cieux
Un monde énigmatique
Au fond des océans
Un monde de tristesse
Où les sirènes pleurent
Les sirènes
Les Sirènes chantaient... Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Les flots voluptueux ruisselaient d'harmonie
Et des larmes montaient aux yeux des matelots.
Les Sirènes chantaient... Là-bas, vers les rochers,
Une haleine de fleurs alanguissait les voiles ;
Et le ciel reflété dans les flots pleins d'étoiles
Versait tout son azur en l'âme des nochers,
Les Sirènes chantaient... Plus tendres à présent,
Leurs voix d'amour pleuraient des larmes dans la brise,
Et c'était une extase où le coeur plein se brise,
Comme un fruit mûr qui s'ouvre au soir d'un jour pesant !
Vers les lointains, fleuris de jardins vaporeux,
Le vaisseau s'en allait, enveloppé de rêves ;
Et là-bas - visions - sur l'or pâle des grèves
Ondulaient vaguement des torses amoureux.
Diaphanes blancheurs dans la nuit émergeant,
Les Sirènes venaient, lentes, tordant leurs queues
Souples, et sous la lune, au long des vagues bleues,
Roulaient et déroulaient leurs volutes d'argent.
Les nacres de leurs chairs sous un liquide émail
Chatoyaient, ruisselant de perles cristallines,
Et leurs seins nus, cambrant leurs rondeurs opalines,
Tendaient lascivement des pointes de corail.
Leurs bras nus suppliants s'ouvraient, immaculés ;
Leurs cheveux blonds flottaient, emmêlés d'algues vertes,
Et, le col renversé, les narines ouvertes,
Elles offraient le ciel dans leurs yeux étoilés !...
Des lyres se mouraient dans l'air harmonieux ;
Suprême, une langueur s'exhalait des calices,
Et les marins pâmés sentaient, lentes délices,
Des velours de baisers se poser sur leurs yeux...
Jusqu'au bout, aux mortels condamnés par le sort,
Choeur fatal et divin, elles faisaient cortège ;
Et, doucement captif entre leurs bras de neige,
Le vaisseau descendait, radieux, dans la mort !
La nuit tiède embaumait...Là-bas, vers les îlots,
Une harpe d'amour soupirait, infinie ;
Et la mer, déroulant ses vagues d'harmonie,
Étendait son linceul bleu sur les matelots.
Les Sirènes chantaient... Mais le temps est passé
Des beaux trépas cueillis en les Syrtes sereines,
Où l'on pouvait mourir aux lèvres des Sirènes,
Et pour jamais dormir sur son rêve enlacé.
Les sirènes
Saché-je d'où provient, Sirènes, votre ennui
Quand vous vous lamentez, au large, dans la nuit ?
Mer, je suis comme toi, plein de voix machinées
Et mes vaisseaux chantants se nomment les années.
C-C8 le 31-10-2008 à 10:44:33 #
génial cette page j'en aurais ss doute besoin pour la saga mp3 avec Ulysse, garde la au chaud
laurenne le 24-10-2008 à 15:12:30 # (site)
merci pour ce gif et surtout de ton passage sur mon blog
kisssss jessyilan
[Tango] (... ) te rendra, te rendra... . fou ! [Refrain] (Jose Feliciano) Roxanne, n'allume pas ta lanterne rouge ce soir Ne descends pas sur le trottoir pour l'argent Tu te fiches que ce soit bien ou mal Roxanne, ne mets pas cette robe ce soir Roxanne, ne vends pas ton corps à la nuit (Ewan Mac Gregor) Ses yeux sur ton visage Sa main sur ta main Ses lèvres caressent ta peau C'est plus que je ne peux supporter... [Refrain] (Ewan Mac Gregor) Pourquoi mon coeur pleure-t-il ? Ces sentiments me désarment Tu peux me quitter Mais ne me trahis pas Et s'il te plaît crois-moi quand je dis que je t'aime [Tango] [Refrain] |
<!-- TEXTE / end -->
Commentaires
laurenne le 30-10-2008 à 20:41:58 # (site)
merci nany bon halloween a toi aussi et bonne nuit
kiss
NANY le 30-10-2008 à 18:01:34 # (site)
bonsoir Laurenne , j'espère que tu vas bien, et je te souhaite une belle soirée et un Joyeux Halloween
gros bisous
NANY
NANY le 28-10-2008 à 17:32:54 # (site)
bonjour mon amie, j'espère que tu vas bien, et que tu as passé une belle journée, avec du beau temps, ici il pleut, mais ça arrive tellement peu souvent qu'on supporte, et ça ne dure jamais longtemps
je te souhaite, une belle soirée et de doux rêves
gros bisous
NANY
laurenne le 28-10-2008 à 10:59:43 #
kikoo nany encore merci pour tout tes coms te souhaite un bon mardi
kissss
NANY le 27-10-2008 à 17:36:21 # (site)
bonsoir Laurenne, j'espère que tu as passé une bonne journée, avec le beau temps,
je te souhaite une merveilleuse soirée et une magnifique nuit
mille bisous
NANY
NANY le 26-10-2008 à 18:32:30 # (site)
bonsoir mon amie, j'espère que tu as passé un agréable dimanche , je te souhaite une très belle soirée et une nuit aux rêves meveilleux
gros bisous
NANY