Youppi !! C'est le printemps
Y a la nature qu'est tout en sueur
Dans les hectares y a du bonheur
C'est l'printemps
Y a des lilas qu'ont même plus l'temps
De s'faire tout mauves ou bien tout blancs
C'est l'printemps
Y a du blé qui s'fait du mouron
Les oiseaux eux ils disent pas non
C'est l'printemps
y a nos chagrins qu'ont des couleurs
Y a même du printemps chez l'malheur
Y a la mer qui s'prend pour Monet
Ou pour Gauguin ou pour Manet
C'est l'printemps
Y a des nuages qui n'ont plus d'quoi
On dirait d'la barbe à papa
C'est l'printemps
Y a l'vent du nord qu'a pris l'accent
Avec Mistral il passe son temps
C'est l'printemps
Y a la pluie qu'est passée chez Dior
Pour s'payer l'modèle Soleil d'Or
Y a la route qui s'fait nationale
Et des fourmis qui s'font la malle
C'est l'printemps
Y a d'la luzerne au fond des lits
Et puis l'faucheur qui lui sourit
C'est l'printemps
Y a des souris qui s'font les dents
Sur les matous par conséquent
C'est l'printemps
Y a des voix d'or dans un seul cri
C'est la Sixtine qui sort la nuit
Y a la nature qui s'tape un bol
A la santé du rossignol
C'est l'printemps
Y a l'beaujolais qui la ramène
Et Mimi qui s'prend pour Carmen
C'est l'printemps
Y a l'île Saint-Louis qui rentre en Seine
Et puis Paris qui s'y promène
C'est l'printemps
Y a l'été qui s'pointe dans la rue
Et des ballots qui n'ont pas vu
Qu'c'était l'printemps
C'est l'printemps du grand léo ferré !!
Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés, le matin, à la table des anges.
Il y a des pluies de printemps délicieuses où le ciel a l'air de pleurer de joie
Le printemps, c'est tout un poème. On en parle, on le pratique, on l'attend...
Immobile, assis sans rien faire, le printemps vient, l'herbe pousse.
[Sagesse chinoise]
Cest le printemps
Sortez les jupettes et les shorts il est tant
Les premiers rayons du soleil nous rechauffent
Nos premiers emois du printemps nous échauffent
Nos corps vont se couvrir d'une douce couleur cuivré
Je vais te couvrir le corps de bisous acidulés
C'est le printemps
Arrivent avec lui des jours prometeurs et ennivrants
Que j'aime ces premiers rayons qui me rechauffent
Et ces premiers emois qui m'echauffent
Mon corps se pare d'une douceur au gout de fleurs de tiaré
Tes bisous sont comme des promesses innachevées
Cest le printemps
Miam ; le printemps
De moi hihihihi
A vous
la magie
de
NOEL
je ne vais pas faire de discourt juste des images et quelques poémes pour le plaisir d'offrir
Noël est là, Ce joyeux Noël, des cadeaux plein les bras, Qui réchauffe nos coeurs et apporte la joie, Jour des plus beaux souvenirs, Plus beau jour de l'année
La terre se remplie d'une fièvre joyeuse,
Donnant au monde une dimension plus heureuse,
La guerre alors s'est endormie,
Pour laisser place à cette douce nuit,
Tous les vieux espoirs sont ressortis,
Les peut-êtres et les attentent aussi,
Fébrilité du monde,
Chaque année c'est la même ronde,
On attend qu'un miracle survienne,
Pour que la paix ne soit plus chose veine.
Et que l'amour nous berce en valse de Vienne .
Afin que tout ne soit plus que poème.
Françoise BEXIGA (Pomkaramell@aol.com)
Un joyeux Noel toute en douceur ,
Diner en famille , c'est le bonheur :
La dinde aux marrons , par tradition ,
La créche en bois blond et ses santons ;
Tous les p'tits souliers , bien alignés ,
Dessous le sapin , jusqu'au matin,
Cousins et cousines , tous réunis ,
Autour des grand-parents ravis !
Joyeux Noel a tous
un sapin réfléchissait : j'ai perdu la neige, c'est vrai, les nuages et le vent frais et les oiseaux qui chantaient. en échange, on m'a offert de fragiles boules en vere, des bougies et des lumière, et des guirlandes légères. les enfants en pyjama chantent et dansent autour de moi. c'est un beau destin, pour un sapin! poesie de l'école de albert camus raphael 7 ans et demi |
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Le bonhomme de neige Dans la nuit de l’hiver Galope un grand bonhomme blanc. C’est un bonhomme de neige Avec une pipe en bois. Un grand bonhomme de neige Poursuivi par le froid. Il arrive au village. Voyant de la lumière, le voilà rassuré. Dans une petite maison, Il entre sans frapper, Et pour se réchauffer, S’assoit sur le poêle rouge, Et d’un coup disparaît, Ne laissant que sa pipe, Au milieu d’une flaque d’eau, Ne laissant que sa pipe Et puis, son vieux chapeau. Jacques Prévert
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