VEF Blog

Titre du blog : IMAGINES
Auteur : laurenne
Date de création : 13-10-2008
 
posté le 15-03-2009 à 16:01:50

la solitude

 Solitude

 

 

Solitude



Tu es le sentiment de vouloir exister dans la reconnaissance d'autrui

Tu es l'expression de ce besoin de communiquer, d'aller vers l'autre

Tu n'es pas inutile, Solitude

Ni douce non plus, pourvoyeuse d'amertume

 

Souvent j'ai voulu te broyer, Solitude

et t'oublier, pourfendeuse de vie

 

Seulement je me suis un peu trop habituée à toi

car quand tu es là, je me rappelle que l'essentiel c'est d'aimer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la solitude

Il y a des jours comme ça
Où rien ne va
Où on voit la vie en noir
comme son reflet dans un miroir
Tout se passe de travers
Tout n’est qu’un véritable calvaire
Et alors on adopte une seule attitude
La solitude
On se referme sur nous même
On essaye d’oublier tous nos problèmes 
Ou alors de trouver un dilemme
En pensant à la personne qu’on aime
Elle qui occupe vos pensées
Toute la journée
On essaye de se raccrocher à sa pensée
Qui pourrait alors vous sauver

 

 

 

 

 

 

La solitude



O ! que j'aime la solitude !
Que ces lieux sacrés à la nuit,
Eloignés du monde et du bruit,
Plaisent à mon inquiétude !
Mon Dieu! Que mes yeux sont contents
De voir ces bois qui se trouvèrent
A la nativité du temps,
Et que tous les Siècles révèrent,
Etre encore aussi beaux et verts,
Qu'aux premiers jours de l'Univers !

Un gai zéphyr les caresse
D'un mouvement doux et flatteur.
Rien que leur extrême hauteur
Ne fait remarquer leur vieillesse.
Jadis Pan et ses demi-dieux
Y vinrent chercher du refuge, 
Quand Jupiter ouvrit les cieux
Pour nous envoyer le Déluge,
Et se sauvant sur leurs rameaux,
A peine virent-ils les eaux.

Que sur cette épine fleurie,
Dont le printemps est amoureux,
Philomèle au chant langoureux
Entretient bien ma rêverie !
Que je prends de plaisir à voir
Ces monts pendants en précipices,
Qui, pour les coups du désespoir
Sont aux malheureux si propices,
Quand la cruauté de leur sort,
Les force à rechercher la mort !

Que je trouve doux le ravage
De ces fiers torrents vagabonds,
Qui se précipitent par bonds
Dans ce vallon frais et sauvage !
Puis glissant sous les arbrisseaux,
Ainsi que des serpents sur l'herbe,
Se changent en plaisants ruisseaux,
Où quelque Naïade superbe
Règne comme en son lit natal,
Dessus un trône de cristal !

Que j'aime ce marais paisible !
Il est tout bordé d'alisiers,
D'aulnes, de saules et d'osiers,
A qui le fer n'est point nuisible.
Les Nymphes y cherchant le frais,
S'y viennent fournir de quenouilles,
De pipeaux, de joncs et de glais ;
Où l'on voit sauter les grenouilles,
Qui de frayeur s'y vont cacher
Sitôt qu'on veut s'en approcher.

Là, cent mille oiseaux aquatiques
Vivent, sans craindre en leur repos,
Le giboyeur fin et dispos,
Avec ses mortelles pratiques,
L'un, tout joyeux d'un si beau jour,
S'amuse à becqueter sa plume ;
L'autre alentit le feu d'amour
Qui dans l'eau même se consume,

 


Et prennent tout innocemment
Leur plaisir en cet élément.

Jamais l'été, ni la froidure
N'ont vu passer dessus cette eau
Nulle charrette ni bateau,
Depuis que l'un et l'autre dure ;
Jamais voyageur altéré 
N'y fit servir sa main de tasse ;
Jamais chevreuil désespéré
N'y finit sa vie à la chasse ;
Et jamais le traître hameçon
N'en fit sortir aucun poisson.

Que j'aime à voir la décadence
De ces vieux châteaux ruinés,
Contre qui les ans mutinés
Ont déployé leur insolence !
Les sorciers y font leur sabbat ; 
Les démons follets s'y retirent,
Qui d'un malicieux ébat
Trompent nos sens et nous martyrent ;
Là se nichent en mille trous
Les couleuvres et les hiboux.

L'orfraie, avec ses cris funèbres,
Mortels augures des destins,
Fait rire et danser les lutins
Dans ces lieux remplis de ténèbres.
Sous un chevron de bois maudit
Y branle le squelette horrible
D'un pauvre amant qui se pendit
Pour une bergère insensible,
Qui d'un seul regard de pitié
Ne daigna voir son amitié.

Aussi le Ciel juge équitable,
Qui maintient les lois en vigueur,
Prononça contre sa rigueur
Une sentence épouvantable :
Autour de ces vieux ossements
Son ombre, aux peines condamnée,
Lamente en longs gémissements
Sa malheureuse destinée,
Ayant pour croître son effroi
Toujours son crime devant soi.

Là, se trouvent sur quelques marbres
Des devises du temps passé ;
Ici, l'âge a presque effacé
Des chiffres taillés sur les arbres ;
Le plancher du lieu le plus haut
Est tombé jusque dans la cave,
Que la limace et le crapaud
Souillent de venin et de bave ;
Le lierre y croît au foyer,
A l'ombrage d'un grand noyer.

Là dessous s'étend une voûte
Si sombre en un certain endroit,
Que, quand Phébus y descendrait,
Je pense qu'il n'y verrait goutte ;
Le sommeil aux pesants sourcils,
Enchanté d'un morne silence,
Y dort, bien loin de tous soucis,
Dans les bras de la Nonchalance, 
Lâchement couché sur le dos
Dessus des gerbes de pavots.

Au creux de cette grotte fraîche
Où l'Amour se pourrait geler,
Écho ne cesse de brûler
Pour son amant froid et revêche ;
Je m'y coule sans faire bruit,
Et par la céleste harmonie
D'un doux luth, aux charmes instruit,
Je flatte sa triste manie,
Faisant répéter mes accords
A la voix qui lui sert de corps.

Tantôt, sortant de ces ruines,
Je monte au haut de ce rocher,
Dont le sommet semble chercher
En quel lieu se font les bruines ;
Puis je descends tout à loisir,
Sous une falaise escarpée,
D'où je regarde avec plaisir
L'onde qui l'a presque sapée
Jusqu'au siège de Palemon,
Fait d'éponges et de limon.

Que c'est une chose agréable
D'être sur le bord de la mer,
Quand elle vient à se calmer
Après quelque orage effroyable !
Et que les chevelus Tritons,
Hauts, sur les vagues secouées,
Frappent les airs d'étranges tons
Avec leurs trompes enrouées,
Dont l'éclat rend respectueux
Les vents les plus impétueux.

Tantôt l'onde, brouillant l'arène,
Murmure et frémit de courroux,
Se roulant dessus les cailloux
Qu'elle apporte et qu'elle r'entraîne.
Tantôt, elle étale en ses bords,
Que l'ire de Neptune outrage,
Des gens noyés, des monstres morts,
Des vaisseaux brisés du naufrage,
Des diamants, de l'ambre gris,
Et mille autres choses de prix.

Tantôt, la plus claire du monde,                                                                      


Elle semble un miroir flottant,
Et nous représente à l'instant
Encore d'autres cieux sous l'onde.
Le soleil s'y fait si bien voir,
Y contemplant son beau visage,
Qu'on est quelque temps à savoir
Si c'est lui-même, ou son image,
Et d'abord il semble à nos yeux
Qu'il s'est laissé tomber des cieux.
...

 

 

L'absence

 

Le silence m'entoure de honte
A penser au temps qui s'évade
sans pouvoir un instant l'arrêté
Ni te ramener du fond du passé. 

Seul, je chemine telle une feuille
volant de branche en branche sans seuil
Ni une épaule où reposer ma peine;
Fatigué de t'attendre toi ma reine.

La douleur creuse son sillage
Au petit bonheur des passages.
Ma dernière lettre imbibée de larmes
S'aura-t-elle raviver notre flamme?
  

 

 

 

Un seul être vous manque

 

 

Un seul être vous manque,
Et c’est tout le ciel qui s’assombrit,
Devient gris,
Sans vie.

Un seul être vous manque,
Et c’est tout ce qui vous entoure qui disparaît,
Devient laid,
Sans attrait.

Un seul être vous manque, 
Et c’est tout votre esprit qui se perd,
S’écroule et tombe par terre,
Sans en avoir l’air.

Un seul être vous manque,                                                                      

 


C’est ils, c’est elles,
C’est lui, c’est elle,
Eternels.

Un seul être me manque,
C’est vous,
Ne m’oubliez pas,
Revenez-moi.

 

 

J'ai rêvé

 

Je pensais que tu étais plus qu'un simple ami,
Que toi et moi, c'etait pour la vie.
Mais, je n'ai fait que rêver,
Et, j'ai fini par me réveiller.
j'ai besoin de ta présence.
Mais, je dois me contenter de ton absence.
 

 

 

 

 

Le cœur au bord des lèvres

 

 

 

Je n'ai plus le choix,
Je vis en surface,
Je suis si peu sans toi!
Oubliée dans ma carapace. 

Je pensais à un répit,
Non pour que tu m'oublie.
Au bout de mes nuits,
Je rêve de paradis
Où tu te dechaînes,
Où tu m'enchaîne
De spasmes indécents
En des chants incessants!

La vie s'écoule
En courants qui déboulent,
D'artifices, qui «tourneboulent»,
Comme un serpent nous enroulent.  

Ton image je chasse,
Mais le bonheur, je pourchasse.
La haine hélas a egorgé l'amour
Je fait fi des beaux discours.

 

 

Au revoir amour  


Un destin déjà tracé;
Un envol à prendre;
Tes ailes qui me quittent;
Ton regard qui s’éloigne,
Et mon cœur qui se serre.
Voulant tant retenir le tien près du mien,
De peur qu’il ne perde la mélodie de ton cœur.
Les notes de ton cœur qui m’accompagnaient,
Me faisaient vivre sur son rythme,
Pas de peine, pas de larmes,
Juste un au revoir
Un espoir
L'espoir d’un destin croisé.

 

 

Cet article pour mon mari qui est parti de l'autre coté de la planete

tu me manques mon chéri

 

 

 

 



 

 

Commentaires

laurenne le 24-06-2009 à 08:46:34
merci coraline

mais tkt je vais tres bien juste petit moment de bluz quand mon homme parti en mission


encore merci pour tout tes coms kissssss

ta tata


Hebergement gratuit d image et photo
coco_pops le 23-06-2009 à 18:54:49
une femme komme twa ne devrai pas se sentir seul